En tant qu’athlète et entraîneur passionné, j’ai compris que la performance ne repose pas uniquement sur l'accumulation des kilomètres ou l’intensité brute. Ce qui fait vraiment la différence, c’est la capacité à bien gérer la charge… et surtout, à bien gérer la récupération.

Je m’inspire largement de la méthode norvégienne, reconnue pour son approche structurée et intelligente du développement de l’endurance. Elle met l’accent sur :

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•  Des intensités ciblées, calibrées avec précision pour maximiser les gains sans accumuler de fatigue inutile

•  Une charge progressive, avec un volume maîtrisé mais répété suffisamment pour créer de vraies adaptations

•  Un suivi rigoureux de la récupération, incluant la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV), la qualité du sommeil et les sensations

•  Un dosage précis du travail VO₂max et seuil lactique, au cœur du moteur aérobie Une lecture fine du corps : ce n’est pas l’intensité qui fait peur, c’est la mauvaise gestion qui la rend inefficace